Statue en bois de chêne. Ange en tenue de diacre. Nord de la France, époque XVI°.

Statue en bois de chêne représentant un ange en tenue de diacre. Nord de la France, époque XVI°.

Statue en bois de chêne représentant un ange en tenue de diacre. Vêtu d’un surplis, il tient dans ses mains un ciboire.

Nord de la France, époque XVI°.

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Ecole Florentine du XVI°. Vierge à l’Enfant entre 2 candélabres. Bas relief en cartapesta polychrome.

Ecole Florentine du XVI°. Suiveur d’Antonio ROSSELINO (1409-1464) Vierge à l’Enfant entre 2 candélabres dans un cadre en bois. Bas relief en cartapesta polychrome représentant la Vierge assise avec son fils sur les genoux. Plusieurs exemplaires ont été réalisés à l’époque. Un modèle assez proche est exposé au château de Chaalis annexe du Musée Jacquemart-André.

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Vierge de douleur. Statue en bois de tilleul sculpté et polychrome. Allemagne 1^ère moitié du XV°.

Vierge de douleur. Statue en bois de tilleul sculpté et polychrome, dos évidé. Vêtue d’un voile manteau, elle porte la guimpe; son visage empreint de tristesse est incliné vers le Christ mort. Cette statue faisait probablement partie d’un sépulcre ou d’un calvaire.

Allemagne 1^ère moitié du XV°

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St Antoine ermite. Statue en chêne sculpté avec trace de polychromie. Epoque XVI°.

St Antoine ermite. Statue en chêne sculpté avec trace de polychromie. Largement représenté au Moyen Age, il est considéré comme le père des moines. Sa remarquable capacité de résistance à la douleur et aux tentations lui a fait attribuer un pouvoir de guérison. Ses reliques, transférées en 1070 dans le Viennois contribuèrent à soigner le mal des ardents aussi appelé le feu de St Antoine. Ainsi naquit la plus ancienne institution d’un corps hospitalier : les Antonins.

Le visage émacié avec une longue barbe, les pieds nus, il porte la tunique des Antonins. De la main gauche, il tient le livre de la Règle sur lequel jaillit un feu. A ses pieds, un cochon qui symbolise ceux élevés par les moines.

Epoque XVI°.

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Ste Marie Madeleine pénitente. Sculpture en terre cuite polychrome et dorée. Travail provençal ? Epoque début XVIII°.

Ste Marie Madeleine pénitente. Sculpture en terre cuite polychrome et dorée. La sainte, en prière, est agenouillée devant un crucifix qu’elle tient de la main gauche. Le décor environnant évoque la grotte (baume) où elle a vécu la fin de ses jours. On remarquera le vase d’onguent (son attribut) et une tête de mort symbole de vanité. Une petite chapelle est représentée sur le rocher qui rappelle celle bâtie au sommet de la montagne de la Ste Baume à St Maximin en Provence.

Travail provençal ? Epoque début XVIII°.

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Crucifix en bois sculpté, doré et polychrome. Epoque XVI°.

Crucifix en bois sculpté, doré et polychrome.

Christ couvert de la couronne d’épines. Son visage aux traits fins exprime douleur et sérénité. Epoque XVI°.

La croix est moderne.

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Petit meuble de maitrise représentant une armoire provençale de mariage. Bois de noyer. Première moitié du XIX°.

Petit meuble de maitrise représentant une armoire provençale de mariage avec ses 2 portes à panneaux chantournés et sa traverse basse ajourée et décorée de la corbeille de mariage

Bois de noyer. Première moitié du XIX°.

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St Roch. Statue en bois sculpté, laqué et doré. Epoque circa 1600.

St Roch. Statue en bois sculpté, laqué et doré. Vêtu en pèlerin, il porte sur son chapeau les 2 clefs du romieu. Il montre, sur sa jambe, le bubon de la peste. Il est accompagné de son roquet  (porteur d’un pain) et aussi d’un ange infirmier.

Originaire de Montpellier, il est considéré comme un saint antipesteux.

Laque et dorure d’origine. Epoque circa 1600.

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